L’écomobilité ou la mobilité durable se traduit par une politique destinée à aménager et à gérer le territoire et la ville. On parle alors d’une stratégie gouvernementale qui permettra de favoriser une mobilité pratique, peu polluante et surtout respectueuse de l’environnement et du cadre de vie.
Quels sont les domaines concernés par l’écomobilité ?
Il y a beaucoup de secteurs touchés par la mobilité durable. On peut par exemple citer les applications technologiques, la sensibilisation et l’éducation de la population. Autrement, il est également question d’urbanisme, d’infrastructures et d’organisation du transport. Les bases sur lesquelles elle repose pourront se matérialiser si l’on applique et développe des principes d’organisation et des technologies en faveur des moyens de déplacement alternatifs et doux (le vélo ou la marche), des transports en commun et de la réduction des émissions de polluants et gaz à effet de serre. Pour y parvenir, un citoyen peut très bien consulter les dossiers et suivre les conseils proposés par le site V.Z.E.
Quelles sont les actions pouvant favoriser l’écomobilité ?
D’une manière plus concrète, il est possible de l’appliquer en densifiant un espace urbain aux activités mixtes. On peut également construire des voies de tramway, des réseaux intelligents, des bornes de recharge électrique ou des pistes cyclables. Certains pays ont aussi choisi de fluidifier et de fiabiliser leurs transports en commun, pendant que d’autres tentent d’établir un brassage entre les moyens de déplacement (vélo, métro…). Certains gouvernements sont même amenés à mettre en place des Plans de déplacement urbain et des Plans de déplacement en entreprises. On peut, entre autres, accroitre le parc de véhicules propres ou tout simplement établir une stratégie destinée à sensibiliser et à éduquer la population selon le principe de l’écoconduite.